REPORTAGE. La recherche biomédicale ne peut toujours pas, c’est un fait, se passer des modèles animaux pour avancer dans
la compréhension des mécanismes des pathologies. Qu’ils travaillent sur la maladie de Parkinson, le cancer ou les dysfonctionnements
cardiaques, avec des souris, des poissons ou des primates, onze chercheurs réaffirment que le modèle animal fait partie d’un projet
de recherche.